«La dénomination ‘stage’ est tout d’abord un peu ambiguë», admet Reschad Rassa (24). «On s’imagine qu’il s’agit de tâter le terrain pendant six mois, mais tel n’est pas le cas.» «En tant que stagiaire BEM, on parcourt un grand nombre de domaines différents d’une banque», complète Nicole Marti (20). «À la fin, on reçoit un diplôme et cela équivaut à une formation bancaire commerciale.»
Les changements de service au cours du stage BEM sont réglés dès le départ. Tous les trois à cinq mois environ, on travaille dans un autre service: au guichet pour les clients privés, au Centre de conseil en crédit, dans le segment Placements et Private Banking et dans le domaine des clients commerciaux.
«De plus, on découvre plusieurs succursales SoBa durant la formation», poursuit Nicole, «et on fait ainsi l’expérience des différents modes de travail et dynamiques d’équipes.»
«En ce qui me concerne», raconte Reschad, «je me suis clairement décidé contre les études de physique que j’avais commencées à l’EPF de Zurich. Faire la navette depuis Soleure était difficile à mettre en œuvre à long terme en raison de l’intensité des études et, même si je recevais une bourse, je ne pouvais pas me permettre de vivre à Zurich. J’ai interrompu mes études au bout d’un semestre seulement.»
Le frère de Reschad est tombé sur une publicité pour la formation BEM, «et cela m’a mis la puce à l’oreille. L’économie m’intéressait au moins autant que la science et il y avait la perspective d’être repris après le stage. J’ai donc posé ma candidature.»
Après sa maturité spécialisée dans le domaine du travail social, Nicole voulait elle aussi plutôt travailler dans l’économie. «Quand je suis tombée sur le stage BEM, je trouvais intéressant que l’on apprenne à connaître tant de domaines différents et que l’on puisse acquérir beaucoup de pratique.»
«La Baloise est innovante. Nous travaillons avec des start-up et sommes à la recherche de partenariats.»
«Je dois avouer», réfléchit Nicole, «que les préjugés typiques concernant le monde bancaire ne se sont pas confirmés à la SoBa.» Reschad souligne: «Nous vivons ici une culture extrêmement ouverte, presque familiale. Il y a une grande cohésion au sein des équipes.»
«Nous sommes bien placés pour remarquer que c’est général étant donné que nous passons dans tant de services», confirme Nicole. «Bien sûr, on est nerveux au début, il faut s’y retrouver dans de nouvelles dynamiques et effectuer d’autres tâches, mais la courbe d’apprentissage est raide et l’on est de plus en plus expérimenté à chaque changement.»
Reschad: «Grâce aux rocades, nous pouvons nous mettre en réseau, et c’est un énorme avantage. On connaît les gens, ce qui permet de clarifier les incertitudes en passant par des voies hiérarchiques courtes et de collaborer plus efficacement.»
#Hypothèques – financement d’immeubles #Placements – gestion de patrimoine #Prestations de base – moyens de paiement / trafic des paiements Tâches pendant le stage: Financement: saisie d’une demande de financement, évaluation de la possibilité d’un financement Placements: création de propositions de placement, recherche de produits de placement adéquats, préparation d’entretiens «Revue générale» Prestations de base: recommandation de produits, par exemple différentes cartes de crédit ou différents comptes
Outre le réseau, les connaissances des stagiaires BEM peuvent croître elles aussi. «Nous avons dans chaque domaine des formateurs pratiques attitrés qui nous soutiennent en tant que mentors et interlocuteurs. Je me sens à l’aise», décrit Nicole. «Peu importe où nous travaillons, nous sommes toujours bien encadrés.»
«Et parce que nous apprenons de différentes personnes, nous découvrons des perspectives très variées. C’est extrêmement enrichissant», poursuit Reschad. «Ce qui nous forme également, c’est le fait que nous pouvons assumer très vite nos responsabilités. Je pouvais faire mes propres propositions de placement ou recommander certains produits aux clients.»
«Et moi, je pouvais documenter toute seule l’avancement des travaux sur un chantier au moyen de photos», se rappelle Nicole. «La confiance en nous était manifeste dès le début.»
«Je ne me suis jamais senti autant à l’aise sur le plan scolaire/professionnel qu’au sein de la Baloise Bank SoBa.»
«À la fin de notre formation», conclut Reschad, «nous avons quelque chose de solide en poche. Mais pour ma part, j’aimerais par exemple continuer mes études tout en travaillant à temps partiel: j’aime me perfectionner et avec un diplôme de stagiaire BEM, toutes les portes du monde bancaire nous sont ouvertes.»