Je fais la connaissance de Marina et de Sandrine par visioconférence sur Teams et leur énergie est perceptible même virtuellement: deux Françaises qui aiment rire, dégagent de l’optimisme et qui ont appris une chose: je peux tout faire si je le souhaite.
Sandrine a commencé à l’accueil d’un hôtel et a ensuite intégré la chaîne de magasins suisse «Manor». «L’équilibre vie professionnelle – vie privée a toujours été important pour moi. Mère d’une fille, je souhaitais également la voir grandir et j’ai travaillé à temps partiel.» Sandrine a pris en charge des missions à l’accueil et dans le domaine Customer Care. Avec son chef, elle a développé un service clientèle et a pris la direction d’une équipe.
Marina a étudié le commerce international. En 1998, elle a intégré la centrale de l’entreprise textile «Carhartt Work in Progress»: tout d’abord dans le domaine B2B, puis B2C. «Durant ce temps passé dans l’entreprise, elle a évolué. Nous avons dû redéfinir les systèmes et les processus dans de nombreux pays. Une grande responsabilité.» Au cours des années, Marina a eu deux enfants et devint rapidement responsable d’une équipe dans le domaine de l’e-commerce.
Ensemble, elles cumulent plus de 40 ans d’expérience professionnelle et ont ressenti un besoin de nouveauté. Elles sont tombées sur une annonce de la Baloise qui a éveillé leur curiosité. «Le texte était différent de ce qu’on lit généralement dans les annonces», se rappelle Marina. «Accessible, en ayant le sentiment que nous serons considérées comme de vraies personnes et non comme de simples numéros. » Sandrine avait des contacts à titre privé avec la Baloise et surmonté une crise personnelle. «Pour moi, il était clair que si je pouvais réorganiser ma vie privée, je pourrais également prendre un nouveau départ professionnel.» Aucune d’entre elles n’avait travaillé auparavant au service clientèle d’une assurance, mais elles souhaitaient malgré tout tenter l’aventure.
Ce que la Baloise a trouvé intéressant en Marina et Sandrine pour leurs nouvelles missions est, entre autre, leur talent pour les langues. A elles deux, elles parlent français, italien, espagnol, anglais et allemand: un atout certain pour répondre aux clientes et aux clients. «Nous examinons les demandes, explique Marina, nous les transformons en polices et contactons des spécialistes si des informations manquent.» Sandrine ajoute: «Nous aidons en cas de difficultés de paiement, en parlons avec d’autres conseillers et conseillères clientèle par téléphone, la baloisedirectline et attribuons les demandes aux domaines correspondants.» Toutes deux travaillent à temps partiel, de manière flexible, avec la possibilité de travailler depuis chez elles.
«Les débuts ont été étranges, explique Marina. J’avais à peine commencé mon nouveau travail, j’étais depuis deux semaines au bureau quand le confinement est arrivé. Nous travaillons depuis lors à la maison. J’ai seulement pu faire rapidement la connaissance de l’équipe et je me réjouis de pouvoir retourner au bureau.» «Le fait de pouvoir faire notre travail depuis chez nous, nous offre une grande flexibilité, se réjouit Sandrine. Je peux concilier mon travail et ma vie privée.» Elles soulignent toutes deux leur bonne intégration à l’équipe malgré l’initiation virtuelle. «Les formations étaient très bien organisées. Nous avions des marraines qui nous ont énormément soutenues.»
«Je revis! Après tant d'année de routine, la nouveauté fait du bien. Ce que la Baloise fait pour ses employés est impressionnant.»
«Je dois reconnaître, admet Sandrine, que je craignais un peu le télétravail au début, surtout en tant que nouvelle venue. Que faire en cas de problème technique? Mais j’ai appris que je pouvais contacter le help desk pour obtenir de l’aide.» Marina: «Apprendre quelque chose de nouveau fait partie de ma philosophie de vie. Et me motive. Bien entendu, nous avons dû apprendre le vocabulaire de l’assurance, mais cela s’est fait rapidement en l’utilisant quotidiennement.»
Les deux femmes sont d’accord: Oser prendre un nouveau départ en a valu le coup. «Le travail leur plaît «et je revis», dit Marina en riant. Après des années de routine, la nouveauté fait du bien. Ce que fait la Baloise pour ses collaborateurs est impressionnant. Notamment les moyens mis en œuvre pour rester en contact pendant cette période de pandémie. Et qu’on nous demande parfois: Salut, comment ça va? – Je n’ai pas vécu ça de manière aussi forte par le passé.»