Depuis aussi longtemps qu’il s’en souvienne, les parents de Sandro ont été assurés à la Baloise. «Lorsque j’étais enfant, notre conseiller en assurances venait déjà chez nous, nous accompagnait et nous soutenait et a toujours affirmé en toute honnêteté que la Baloise était un employeur fantastique.» Sandro rit et fait de grands mouvements des mains. Des gestes qui expriment l’impression de forte loyauté que ce collaborateur a laissée à la famille Graf. «En fait, mon parcours professionnel aurait dû commencer à la Baloise, plaisante Sandro, mais à l’époque, d’autres choses m’intéressaient: le sport, par exemple, et l’informatique. C’est pourquoi j’ai décidé de suivre une formation informatique.»
«J'aime développer!»
En 1998, Sandro commence chez un fournisseur informatique bâlois l’un des premiers apprentissages proposés dans ce domaine. «Mon plaisir pour l’informatique m’est venu par les jeux vidéos. Mes amis et moi ne nous contentions pas de jouer, mais nous intéressions aux PC, à la programmation (C++) et au web design.»
Sandro a fait de son hobby son métier et est resté dans l’entreprise après son apprentissage, tout en suivant des études d’informaticien de gestion en cours d’emploi. «J’ai toujours aimé évoluer. Par le passé, j’ai aussi joué au handball en ligue nationale B. Cette motivation à progresser sans cesse fait partie intégrante du sport de haut niveau et est donc aussi l’un de mes traits de caractère principaux.»
Sandro a toujours l’esprit d’équipe; une attitude qui lui est très utile en tant que product owner. Avec son équipe, il déploie par exemple de nouveaux logiciels commerciaux et leurs mises à jour pour les collaborateurs sur la plateforme de virtualisation de la Baloise. L’ensemble est testé et développé avec le client jusqu’à ce que tout soit stable et puisse être installé automatiquement sur la plateforme.
«En tant que product owner, explique Sandro, je représente l’interface entre l’IT et le client dans ce processus. Je dois comprendre les exigences et les souhaits du client et les traduire.» Sandro participe à de nombreuses réunions, entretient des contacts avec le client, coordonne, fixe des priorités et a bien besoin de ce tact auprès de différentes parties prenantes.
Et il est clair que notre homme maîtrise la communication. Son langage est clair et direct, l’enthousiasme pour son travail est palpable. Il fait preuve d’une grande force de conviction et transmet l’enthousiasme qu’il ressent lui-même de toute évidence pour la Baloise et pour son travail. «Je suis là depuis à peine deux ans et j’ai rarement connu autant d’ouverture d’esprit et de serviabilité. J’ai le droit d’apprendre de mes erreurs sans me faire immédiatement décapiter.» Sandro parle de méthodes de travail agiles qui conduisent à des processus rapides au sein de son équipe. «Cependant, hors de l’équipe, reconnaît-il, je souhaite plus de décisions plus courageuses. La culture de la Baloise, c’est aussi embarquer tout le monde. Cela prend du temps.»
«Je peux apprendre de mes erreurs.»
Mais là aussi, Sandro fait preuve de réflexion. «La Baloise n’est ni Spotify ni Google. Nous sommes une assurance et une banque. Pendant des décennies, notre façon de travailler était axée sur un concept de sécurité. Changer de cap est un processus en soi, mais nous avons déjà bien progressé. Nous avançons un peu chaque jour. De par mon attitude, c’est aussi à moi d’être un modèle pour une nouvelle culture du travail.» Sandro est convaincu qu’aujourd’hui, l’ouverture d’esprit, la curiosité, l’autoréflexion et la volonté de changement sont plus importantes que les connaissances spécialisées. «Je peux apprendre l’informatique, déclare-t-il, mais adopter une attitude proactive et responsable est bien plus difficile.»
L’amie de Sandro est psychologue. Avec elle, il réfléchit souvent après le travail. «Récemment, elle m’a dit que depuis que je travaillais à la Baloise, j’étais devenu plus ouvert et que je faisais preuve de plus de courage lors des discussions.» Il rit. «Je pense que c’est aussi grâce à elle.» Il précise ses pensées: «Mais c’est précisément cet "aussi" qui compte. La manière dont nous agissons les uns avec les autres au travail se répercute sur chacun d’entre nous. À la Baloise, l’humain est au premier plan. En voulant apprendre les uns des autres, chacun d’entre nous incarne un modèle de collaboration. Mais pour cela, il faut une motivation intrinsèque. Celui qui en a est chez nous à la bonne adresse.»