«Pas du tout», souligne Sannie. «J’avoue que cela semblait l’être au départ, parce que faire des études après la maturité est la voie classique mais pour ma part, l’apprentissage m’a donné un très bon aperçu de la vie professionnelle. Qu’est-ce que je veux? De quoi suis-je capable? Qu’est-ce qui me plaît?» Pendant sa formation dans le profil E, Sannie est passée par six services: les achats et la logistique, le centre de formation, puis l’immobilier, le marketing, les RH et la comptabilité. «Un privilège», dit-elle aujourd’hui. On obtient une compréhension globale de l’entreprise et découvre dans quel domaine on aimerait se développer.» Aujourd’hui, elle sait qu’elle aimerait approfondir ses connaissances dans l’économie d’entreprise. Elle fréquente actuellement la Haute École spécialisée du nord-ouest de la Suisse à Bâle.
«Pas du tout», souligne Sannie. «J’avoue que cela semblait l’être au départ, parce que faire des études après la maturité est la voie classique mais pour ma part, l’apprentissage m’a donné un très bon aperçu de la vie professionnelle. Qu’est-ce que je veux? De quoi suis-je capable? Qu’est-ce qui me plaît?» Pendant sa formation dans le profil E, Sannie est passée par six services: les achats et la logistique, le centre de formation, puis l’immobilier, le marketing, les RH et la comptabilité. «Un privilège», dit-elle aujourd’hui. On obtient une compréhension globale de l’entreprise et découvre dans quel domaine on aimerait se développer.» Aujourd’hui, elle sait qu’elle aimerait approfondir ses connaissances dans l’économie d’entreprise. Elle fréquente actuellement la Haute École spécialisée du nord-ouest de la Suisse à Bâle.
Après s’être aéré un peu l’esprit et avoir rassemblé de nouvelles impressions, Sannie est prête à suivre des cours à l’université. «J’ai de nouveau envie d’apprendre des choses théoriques et d’approfondir mes connaissances.» Depuis l’automne 2019, elle fait des études de gestion d’entreprise à Bâle. «Ce qui est pratique, c'est que j’ai pu rester à la Baloise et que je gagne maintenant de l’argent à côté. Grâce à mon réseau au sein de l’entreprise, j’ai repris un poste d’étudiante salariée dans la gestion de la santé. Durant mon taux d’occupation (ou plutôt quelque chose comme «organisation du temps de travail», car mon taux d’occupation (20%) est fixe, mais je peux le répartir de manière assez flexible. (Pendant les vacances semestrielles plus, pendant les examens moins)), je suis flexible, en fonction du temps qu’il me reste en plus des études à la haute école spécialisée.»
«Si je regarde en arrière, le prétendu détour via l’apprentissage d’employé de commerce (avant les études) a été très enrichissant. Mon développement personnel s’est accéléré grâce aux relations avec mes collègues. J’ai été confrontée à des personnalités très différentes et c’est un bon entraînement.» Sannie décrit avec beaucoup de bienveillance que dans chaque domaine de son apprentissage d’employé de commerce, elle a toujours eu des mentors à ses côtés, les formateurs pratiques. «Ils te font monter à bord, sont tes partenaires de confiance et t’aident. C’est très important, surtout quand on change souvent de service. Tu n’es jamais seul, ce qui vaut d’ailleurs aussi après l’apprentissage. Ils veillent à ce que les apprentis restent dans l’entreprise et qu’il soit fait appel à eux là où cela convient individuellement. La Baloise a une culture familiale particulièrement respectueuse. On y reste donc volontiers.»