Toutes les années sont importantes, mais 2019 a effectivement été une année particulière pour Baloise Insurance Belgique. Deux reprises en un an, ce n’est pas banal dans le milieu. Nous avons officiellement bouclé la reprise de Fidea par Baloise Group en juillet. En novembre, nous avons pu annoncer, non sans fierté, que nous comptions aussi reprendre le portefeuille non-vie d’Athora Belgium. Une fois les fusions juridiques terminées, cela fera passer Baloise Insurance de 1150 à environ 1700 collègues.
Tout à fait! Ces reprises traduisent également l’optimisme et la confiance de Baloise Group envers le marché belge. Nous sommes désormais le 2e pilier du groupe et nous nous classons en Belgique en 4e position des assureurs non-vie. Je suis d’autant plus fier de pouvoir dire que Baloise Insurance parvient, en plus des reprises, à croître de manière autonome. En effet, Baloise Insurance connaît chaque année une croissance supérieure à celle du marché. Notre chiffre d’affaires a doublé en 7 ans, pour passer de 1 à 2 milliards d’euros. Pareille croissance aurait été impensable sans le dévouement enthousiaste de nos collaborateurs. Je suis un CEO empli de fierté.
«Notre chiffre d’affaires a doublé en 7 ans, pour passer de 1 à 2 milliards d’euros. Pareille croissance aurait été impensable sans le dévouement enthousiaste de nos collaborateurs.»
Je n’en doute pas. Dans notre dernier Pulse Check (octobre 2019), 86% des collaborateurs sondés indiquaient qu’ils recommanderaient Baloise Insurance comme employeur. Ce ne serait pas le cas s’ils n’étaient pas fiers de travailler pour Baloise Insurance. Je constate par ailleurs sur les réseaux sociaux que nos collègues utilisent de plus en plus fréquemment le mot-dièse ‘#ProudToBeBaloise. La dernière semaine avant Noël, en marge de l’action «De Warmste Week», nos collaborateurs ont collecté un total de 104 000 euros pour de bonnes œuvres. C’est suffisamment éloquent, vous ne trouvez pas ? Cela ne signifie toutefois en rien que nous pouvons nous reposer sur nos lauriers. Au contraire, nous nous apprêtons à accueillir bon nombre de nouveaux collègues en 2020. Nous devons nous assurer qu’ils se sentent eux aussi rapidement chez eux. Cela dit, je suis convaincu qu’avec les initiatives qui s’imposent, tout se passera bien.
Nous sommes en bonne voie. Nous avons travaillé d’arrache-pied ces dernières années à faire connaître notre nom. Et pour cause, avant d’être une marque populaire, il faut être une marque connue. Alors même que personne ou presque n’avait entendu parler de Baloise Insurance en 2013, plus de la moitié des Belges connaissent aujourd’hui notre nom. Ce résultat est entre autres le fruit de notre politique de parrainage dans le cadre de laquelle nous mettons surtout l’accent sur les courses cyclistes. Puisque notre réputation ne cesse de croître, la prochaine étape consiste à établir un lien avec le client.
Nous avons lancé en 2019 diverses initiatives destinées à montrer que Baloise Insurance ne fait pas qu’assurer, loin s’en faut. Nous avons répondu à de nouveaux besoins des clients, je songe en particulier à la prévention et à la protection contre la cybercriminalité et le harcèlement en ligne. Grâce à la plateforme en ligne Gonna.be et la Chaire pour le Bien-être financier de Baloise Insurance établie à la KU Leuven, nous les aidons à mieux envisager leur avenir financier. B-Tonic, notre plateforme de santé, a également créé de nouveaux parcours susceptibles d’aider le client à entretenir sa santé physique et mentale.
Nous travaillons par ailleurs à donner du sens à notre marque en parrainant de bonnes œuvres, chères à nos clients, et en coopérant avec elles. Nous avons également conclu des partenariats pour contribuer à la santé et au bien-être de chacun. C’est ainsi que nous sommes devenus partenaire de l’UZA Foundation par le biais de laquelle nous soutenons la recherche en immunothérapie contre le cancer. Et Helicus, notre partenaire, a réalisé ses premiers vols test pour le transport médical par drones.