Fondée en 2008, la Fondation Suisse pour le Climat est une initiative volontaire de l’économie pour l’économie. En devenant partenaire de la fondation, la Baloise fera partie de l'initiative constituée de plus de 20 entreprises partenaires qui s’engagent pour la protection du climat ainsi que pour les petites et moyennes entreprises de Suisse et du Liechtenstein. « Ce partenariat me réjouit d’autant plus qu’il est une initiative de l’économie pour l’économie. En fédérant les énergies des entreprises partenaires, la Fondation Suisse pour le Climat se donne les moyens d’encourager avec efficacité des mesures de protection du climat concrètes et prospectives. Cette approche se marie parfaitement avec notre stratégie de durabilité et, surtout, avec notre engagement en faveur du climat », a déclaré, évoquant les raisons de cette adhésion, le CEO de la Baloise Suisse Michael Müller.
Depuis sa création, la fondation a alloué 31 millions de francs à des projets de protection du climat portés par plus de 2100 PME suisses ou du Liechtenstein. La plus grande partie en a été consacrée au développement de technologies innovantes relevant notamment des domaines des bâtiments, de l’agriculture et de l’économie circulaire. En outre, en soutenant les mesures d'économie d'énergie, 550 000 tonnes de CO2 ont été directement économisées.
« Avec la Baloise, nous disposons d'un nouveau partenaire solide qui nous aidera à renforcer cet engagement dans les années à venir. », dit Thomas Hügli, président du conseil de fondation de la Fondation Suisse pour le Climat. « La votation sur la loi révisée sur le CO2 a montré qu'une majorité de la population souhaite en matière de protection du climat, entre autres, des initiatives volontaires du monde économique ainsi qu’une intensification de la recherche. C’est donc un signal important que la Baloise envoie en coopérant avec la Fondation Suisse pour le Climat. En plus de contribuer à la réalisation des objectifs climatiques nationaux elle renforce ainsi aussi la compétitivité internationale de nos PME », ajoute Thomas Hügli.